Avocat en indemnisation des victimes à Paris 16
Parce que la victime d’un accident se trouve dans une position difficile et qu’elle doit se concentrer sur l’amélioration de son état de santé. Parce que les proches de la victime d’un accident sont eux aussi touchés par cet accident. Parce que l’intervention d’un avocat spécialisé dans l’indemnisation des victimes d’accidents est nécessaire voir indispensable.
Votre avocat vous porte assistance pour la réparation du préjudice corporel
Cela est valable tant dans le cadre de la gestion amiable de la réparation des préjudices subis par la victime et ses proches que dans le cadre de la gestion contentieuse.
En effet, si beaucoup de dossiers se soldent par une indemnisation transactionnelle, il est apparu que l’intervention d’un avocat à ce stade permet d’augmenter les montants des indemnités allouées aux victimes.
Par ailleurs, les circonstances d’un accident peuvent apparaître contestables et la responsabilité de la victime retenue par la personne tenue à réparation.
Dans ce cas, le procès est inévitable et l’intervention d’un avocat spécialisé en droit de la responsabilité est indispensable.
Le Cabinet d’avocat intervient ainsi dans le cadre d’accidents de la circulation mettant en oeuvre la Loi dite Loi BADINTER du 5 juillet 1985 destinée à améliorer l’indemnisation des victimes d’accident de la circulation, devant les juridictions spécialisées telles que la CRCI et la CIVI. D’autres cas de figure sont également envisageables : accident du travail, accident médical, accident de la vie…
Maître Clotilde COURATIER-BOUIS, avocat en droit du préjudice corporel à Paris 16, vous assistera en outre lors des réunions d’expertises médicales. Faites-lui confiance pour vous fournir un encadrement juridique adapté à vos besoins en vue de parvenir à l’indemnisation de vos dommages corporels !
Et en cas d’accident de la route ?
La Loi du 5 juillet 1985 pour l’amélioration de l’indemnisation des victimes des accidents de la circulation a unifié le droit du préjudice corporel et les conditions d’indemnisation des victimes.
Il existe deux catégories de victimes dans la Loi de 1985.
- la victime conducteur, qui peut se voir opposer sa faute de conduite et ainsi voir réduire le montant de son indemnisation. Son indemnisation sera prise en charge au titre de la Loi de 1985 s’il existe un autre véhicule impliqué dans l’accident. En cas contraire, il sera fait application des dispositions contractuelles si le conducteur a souscrit une garantie du conducteur, il convient de préciser que ces garanties ne sont pas toujours systématiquement incluses dans les contrats d’assurance automobile.
- La victime non-conducteur ne peut se voir opposer que sa faute à l’origine exclusive de l’accident, la Loi de 1985 sera toujours applicable dès lors qu’il y a un véhicule terrestre à moteur impliqué dans l’accident que la victime soit passagère ou piéton.
Outre la reconnaissance de son statut et de sa qualité, la victime d’un dommage corporel se pose la question principale de la manière dont son préjudice sera pris en compte et évalué.
À noter qu’il existe un Fonds de Garantie dont la mission est d’indemniser les victimes de préjudices corporels.